Article 1944/45 du Patriote Romanais Péageois
- Article du Vendredi 29 Septembre 1944
- Article du Vendredi 6 Octobre 1944
- Article du Vendredi 13 Octobre 1944
- Article du Vendredi 20 Octobre 1944
- Article du Vendredi 10 Novembre 1944
- Article du Vendredi 17 Novembre1944
- Article du Vendredi 1 Décembre 1944
- Article du Vendredi 8 Decembre 1944
- Article du Vendredi 15 Décembre 1944
- Article du Vendredi 22 Decembre 1944
- Article du Vendredi 29 Decembre 1944
- Article du Vendredi 5 Janvier 1945
- Article du Jeudi 18 Janvier 1945
- Article du Jeudi 25 Janvier 1945
- Article du Jeudi 1 Février 1945
- Article du Jeudi 1 Mars 1945
- Article du Jeudi 8 Mars 1945
- Article du Jeudi 15 Mars 1945
- Article du Jeudi 21 Mars 1945
- Article du Jeudi 5 Avril 1945
- Article du Jeudi 12 Avril 1945
- Article du Jeudi 21 Juin 1945
- Article du Jeudi 28 Juin 1945
- Article du Jeudi 12 Juillet 1945
- Article du Jeudi 26 Juillet 1945
- Article de Jeudi 13 Septembre 1945
- Article du Jeudi 20 Septembre 1945
- Edition du Jeudi 4 Octobre 1945
- Edition du Jeudi 18 Octobre 1945
- Edition du Jeudi 25 Octobre 1945
Le Patriote Romanais Péageois - Libération 1944
Comité Cantonal de Romans - Bourg de Péage du Front National pour la Libération de la France
En 1946, 20 Adhérents sur la Commune de Génissieux
Le Front national de lutte pour la libération et l'indépendance de la France, est une organisation de la Résistance intérieure française créée par le Parti communiste français durant la Seconde Guerre mondiale. Il a été homologué par décision ministérielle après la Libération (J.O. du 22 juillet 1948, page 7173), puis mis en liquidation par ses membres, n'ayant plus de raison d'être, après avoir accompagné les demandes de reconnaissance des droits de ces résistants et des familles des disparus. Son nom évoque le Front populaire, alliance politique des partis de gauche du milieu des années trente, dont l’opposition au fascisme fut l’un des mots d’ordre fondateurs. Il n’a aucun lien avec le parti politique créé en 1972, dit aussi « FN », et toujours existant.
Créé le 15 mai 1941 par le Parti communiste français alors clandestin (Jacques Duclos, Pierre Villon), il deviendra rapidement l'organisateur et la représentation « politique » des groupes de lutte armée : les Francs-tireurs et partisans français (FTPF). Par la création du Front national, le Parti communiste mettait son organisation clandestine, déjà bien structurée, ainsi que l’expérience de ses militants, au service d’un large rassemblement de résistants, ouvert à tous les Français, «hormis les capitulards et les traîtres». Les communistes furent les plus nombreux mais des adhésions vinrent de partout. Il compta parmi ses militants et ses cadres des membres de la SFIO, comme Claude Jordery, ancien député socialiste. Parallèlement à la lutte armée des FTPF, il se consacra à la propagande, à la fabrication de faux-papiers, au soutien logistique des clandestins et au sabotage. (souce wikipedia)